Tout d’abord, il faut indiquer que les Amazighes en cette période ont passé vers un autre type de la pratique politique. En fait, depuis plusieurs années la défense de la cause amazighe était dans un cadre qu’on s’appelle les organisations civiles tel : les associations culturelles.
Aujourd’hui, la pensé politique a été changer. En effet, ce changement n’est pas arbitraire, mais à cause de plusieurs facteurs. Outre, c’est une réponse à la question qui vivait plusieurs années dans les armes du mouvement amazighe : qu’est ce qu’il faut faire ?
D’ailleurs, l’insensé d’une initiative quelconque pour continuer sur le chemin de la défense de la cause amazighe, rend évident l’émergence d’autres nouvelles initiatives tel : le front de l’action politique amazighe, qui se considère comme une réponse à la situation actuelle.
Dans le même contexte, on remarque qu’il y a des points de vue contre cette initiative. Cela, c’est normal en tant qu’on parle d’un mouvement qui se caractérise par une dynamique interactive avec les actualités.
En partant de ces deux courants ; le premier qui accepte l’action politique au sein des institutions officielles, et le deuxième qui la refuse, l’observateur va remarquer à travers les indications d’aujourd’hui, que le premier courant accepteur est plus fort que le refuseur.
Pour avancer ce débat, on doit poser quelques questions afin de bien soutenir cette initiative
- Quelles sont les pointes fortes du courant de l’action politique ?
- Est-ce que le front de l’action politique est une réponse correcte pour l’amazighité au Maroc ?
1- Les pointes fortes du courant de l’action politique
En fait, si on évoque les points forts du courant d’action politique amazighe, on les abordera en terme relatif. Ce qui fait qu’au fond d’elle il existe un mouvement soumis à la loi des marées.
La force de ce courant réside dans un premier temps dans les avantages subjectifs et objectifs ; qui marquent cette période historique ainsi que les indicateurs de changement du système politique marocain. Pour plus de détails on va mettre en lumière les indicateurs concernés :
Au niveau des avantages objectifs :
- Le changement de discours du système politique marocain.
- Le lent éloignement de la soumission orientale.
- La fin de la gouvernance des Islamistes, la même chose, pour les Gauchistes.
- L’intérêt aux causes nationales telles : la cause du Sahara.
Au niveau des avantages subjectifs :
- Organisation parfaitement achevée.
- Polarisation des militants démocratiques.
- Une dimension nationale.
- L’union sur un même projet.
- Insistance sur les niveaux sociaux et économique
A travers ces avantages, on remarque que tous les courants politiques anciens sont devenus sans influence, cela implique, qu’aujourd’hui, c’est le temps des militants, ceux qui croient au travail au sein des institutions officielle.
Outre, il ne faut pas oublier que sans pouvoir politique les lois organisationnelles amazighes ne s’arriveront jamais à être activées officiellement dans toutes les directions.
Ceux qui s’intéressent à l’initiative du front de l’action politique Amazighe, ont remarqué que, une fois, les amazighes acceptaient l’action dans son cadre officielle, un ensemble de partis politique ont réagi positivement face à ce pas significatif. Concernant les partis qui ont récusé ce projet, ils vont sûrement connaître sa valeur à l’avenir. Mais, l’essentiel pour le front reste : l’engagement dans des partis sans idéologie.
L’action politique est une réponse correcte pour l’amazighité au Maroc.
En fait, à travers la dite question : est-ce que le front d’action politique amazighe est une réponse fiable actuellement, bien sûr, dans un terme relatif ? On trouve d’une part que cette organisation est une composante du mouvement amazigh, et d’autre part un courant radical à l’intérieur de ce mouvement qui refuse cette vision. Alors dans ce contexte, la question qu’on doit poser et qu’est considéré comme une réponse en même temps est la suivante : est-ce que les mécanismes de la pratique politique radicalisés sont bien développé ? La vérité, c’est malheureusement non ! Car si c’est l’inverse, leur influence apparaîtrait déjà sur scène.
D’ailleurs, l’absence du courant radicale réside dans:
- Le non évolution du discours, qui influence négativement la pratique.
- La rétrogression de débat intellectuel.
- L’absence de l’encadrement politique des nouvelles générations.
- L’absence de construction des organisations politique
Ces facteurs constituent une crise structurale et formelle, ce qui rend alors que, l’émergence du front est une nécessite, si on croit que la nature a horreur du vide.
En fait, l’appel à affaiblir ce courant ne profite pas à la cause amazighe en général, car en revenant aux lois dialectiques qui animent le mouvement, on constate que la loi de l’unité des contraires constitue la connexion des composants malgré leur contradiction, et c’est l’essence par laquelle tout mouvement continue à se développer.
Pour conclure, on peut dire que le front d’action politique amazighe est une initiative émergée de conditions objectives, et sa continuation est une nécessité de même objective. A ce stade tous les intellectuels et les démocraticiennes sont invités à s’engager dans ce projet, pour arriver à bien développer l’amazighité au Maroc.